Proclamation de la grâce de Dieu

Le Seigneur Dieu forma l’homme de la poussière du sol, il insuffla dans ses narines un souffle de vie, et l’homme devint un être vivant. Génèse ².⁷

Cette parole est située au commencement de la Bible.
Elle parle du commencement de notre vie.
Nous voulons l’entendre
au commencement de notre semaine,
de notre rencontre.

Je vous invite à la prière :

Seigneur, sans toi nous ne sommes qu’un peu de poussière,
nous sommes vite essoufflés,
sans vie, sans respiration.
Que souffle ton Esprit,
que nous prenions vie!
Que parle ta Parole,
que s’anime notre chemin !
Ta Parole nous accueille.
Qu’elle nous cueille, nous saisisse,
nous façonne et nous convertisse !
Amen

 

Cantique n° 21-15 : Venez le célébrer

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Louange

Un rabbin raconte.
L’homme devrait toujours avoir deux poches
dans lesquelles il puiserait selon les besoins.
Dans la droite seraient écrits ces mots :
«C’est pour mon salut que la terre a été créée »,
et dans l’autre :
« Souviens-toi que tu n’es que cendre et poussière. »

 

C’est vrai que nous ne sommes que cendre et poussière,
mais pour cette poussière que nous sommes,
tu as donné ton Fils unique.
Nous te louons.

 

C’est vrai que nous sommes aussi éphémères qu’une fleur des champs,
mais ta bienveillance dure d’éternité en éternité.
Nous te rendons grâces.

 

C’est vrai que tu as créé l’homme à partir de la poussière du sol,
mais tu lui as donné ton souffle pour vivre,
pour aimer et pour te louer.
Nous te bénissons.

 

C’est vrai que nous sommes orgueilleux et agités,
impatients et révoltés,
mais tu es un Dieu qui réconcilie le pardon et la vérité,
la justice et la paix.
Nous te rendons grâces.

 

C’est vrai que nous balbutions dans notre marche vers toi,
mais c’est toi qui nous rejoins et qui fais route avec nous.
Nous te louons.

 

Rappelle-nous jour après jour
que nous ne sommes que cendre et poussière.
Que cette mémoire construise notre foi.

 

Rappelle-nous jour après jour
que la terre a été créée pour notre salut.
Que cette confiance nourrisse notre louange.

 

Cantique n° 41-38 : Louange et gloire à ton nom

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Prière de repentance

Donne-nous, Seigneur, le courage de redresser notre vie. Accorde-nous la grâce de la repentance.
Pardonne notre suffisance
qui nous dispense de te demander pardon.
Pardonne nos peurs
qui nous empêchent de vivre l’Evangile.
Pardonne nos convoitises
qui nous font courir vers d’autres dieux que toi.
Pardonne notre orgueil
qui nous empêche de plier les genoux devant toi
et devant les autres.
Aujourd’hui, nous te le demandons :
donne-nous un cœur de pauvre,
un coeur humble et fidèle,
un coeur qui se repent et qui espère.

 

Cantique 43-04 : Seigneur reçoit, Seigneur pardonne. strophes 1 et 2

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Déclaration et accueil de la grâce

Au-delà de nos déchirures et de nos blessures, le Seigneur est celui qui guérit et reconstruit.
Il relève et nous appelle à la vie.
Son pardon est une pluie qui recouvre nos manquements. Sa bénédiction est comme l’ondée du printemps.

Amen

 

Cantique 31-22 : Quand s’éveilleront nos cœurs strophes 1 et 2
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Volonté de Dieu

Dans le livre de la Genèse,
deux frères présentent leur offrande à Dieu.
L’une est acceptée et pas l’autre.
Dieu prend la Parole et s’adresse au second :

 

Le Seigneur dit à Caïn : Pourquoi es-tu irrité, et pourquoi ton visage est-il abattu ? Si tu agis bien tu relèveras la tête, mais si tu n’agis pas bien, le péché est tapi à ta porte, et ses désirs se portent vers toi, mais toi, domine sur lui. Genèse ⁴,⁶–⁷

La jalousie, la peur,
le rejet du prochain, le refus du frère
nous menacent tous.
Mais la Parole est là :

Le péché est tapi à ta porte… mais toi, domine sur lui.

Oui l’Évangile nous appelle
à ne pas nous laisser dominer par nos peurs et nos égoïsmes.
Il nous invite
à la liberté,
à l’amour,
à devenir serviteurs les uns des autres.
Il nous appelle à marcher par l’Esprit.
Et le fruit de l’Esprit, c’est

L’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur et la maîtrise de soi.

Amen

 

Cantique 31-22 : Quand s’éveilleront nos cœurs strophe 3

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Prière avant la lecture de la Bible

Le sage nous l’a dit :
Il y a un temps pour se taire et un temps pour parler
(Qo 3.7)
Avant le temps de la parole,
je vous invite à prendre un temps de silence.

 

Silence

 

Accorde-nous, Père, la grâce du silence.
Donne-nous de nous taire avant d’écouter

Souffle ton Esprit !
Parle ta Parole !
Qu’elle apaise nos pensées !
Qu’elle façonne notre fidélité

Amen.

 

Lectures bibliques

Genèse 2, 5-9 ; 15-25

Au moment où le Seigneur Dieu fait le ciel et la terre, ⁵il n’y a encore aucune plante dans les champs, et l’herbe n’a pas encore poussé. En effet, le Seigneur Dieu n’a pas encore fait tomber la pluie sur la terre, et il n’y a pas d’êtres humains pour cultiver le sol. ⁶Mais une sorte de source sort de la terre et arrose toute la surface du sol. ⁷Le Seigneur Dieu prend de la poussière du sol et il forme un être humain. Puis il souffle dans son nez le souffle de vie, et cet homme devient un être vivant. ⁸Ensuite, le Seigneur Dieu plante un jardin dans le pays d’Éden, vers l’est. Là, il met l’homme qu’il a formé. ⁹Le Seigneur Dieu fait pousser du sol toutes sortes de beaux arbres, avec des fruits délicieux. Au milieu du jardin, il place l’arbre de vie et l’arbre qui fait connaître ce qui est bien ou mal. ¹⁵ Le SEIGNEUR Dieu prend l’homme et il le place dans le jardin d’Éden pour le cultiver et pour le garder. ¹⁶ Le SEIGNEUR Dieu donne cet ordre à l’homme : « Tu peux manger les fruits de tous les arbres du jardin. ¹⁷ Mais tu ne dois pas manger les fruits de l’arbre qui fait connaître ce qui est bien ou mal. Oui, le jour où tu en mangeras, tu mourras, c’est sûr. » ¹⁸ Le SEIGNEUR Dieu se dit : « Pour l’homme, ce n’est pas bon d’être seul. Je vais lui faire une aide qui lui convienne parfaitement. ¹⁹ Avec de la terre, le SEIGNEUR Dieu fait toutes sortes de bêtes sauvages et toutes sortes d’oiseaux. Il les amène à l’homme pour voir comment celui-ci va les appeler. Chaque animal doit avoir le nom que l’homme va lui donner. ²⁰ L’homme donne un nom à tous les animaux domestiques, à toutes les bêtes sauvages et à tous les oiseaux. Mais pour lui¬-même, il ne trouve pas l’aide qui lui convienne parfaitement. ²¹ Alors le SEIGNEUR Dieu fait tomber l’homme dans un sommeil très profond. Il lui prend une côte et il referme la peau à sa place. ²² Avec cette côte, le SEIGNEUR Dieu fait une femme et il l’amène à l’homme. ²³ Alors l’homme dit : « Cette fois, voici quelqu’un comme moi Elle tient vraiment de moi par tout son corps. On l’appellera femme de l’homme, parce qu’elle vient de l’homme. » ²⁴ C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère pour vivre avec sa femme. Et les deux deviendront comme une seule personne. ²⁵ L’homme et sa femme sont nus tous les deux. Mais ils n’ont pas honte l’un devant l’autre.

Cantique 26-10 : Voix des prophètes

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Prédication

C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère pour vivre avec sa femme. Et les deux deviendront comme une seule personne.

Combien de fois avons-nous entendu ce verset le jour d’un mariage. Au mien, il a servi de texte de prédication. Il a heurté la Maman d’Olivier, qui avait peut-être un peu de mal à laisser partir le dernier de ses enfants.
Il est cependant intéressant de sortir ce verset du contexte d’un mariage et d’entendre ce qu’il a à nous dire.
Vous savez tous que dans le livre de la Genèse, nous trouvons deux textes sur la création du monde.
L’un est plutôt une réflexion généraliste sur les grandes questions humaines. C’est celui de Genèse 1. Il me correspond bien, car il me conforte dans mes idées. Je ne le sens pas en contradiction avec les connaissances scientifiques actuelles.
Le second texte est plus poétique. Nous venons d’en lire quelques versets.
Écartons d’abord la difficulté de savoir si Adam et Ève ont ou n’ont pas existé. Personnellement je pense que la question ne se pose pas. L’humanité a bien commencé un jour. Avec qui, où et comment ? La science essaie de répondre à ces questions. Mais le ou les premiers êtres que la science nous présentera comme premiers hommes, la Bible le ou les appelle « Adam et Ève ».
Dans le texte hébreux apparaisse trois termes : Adam, Ish et Isha. Adam peut se traduire par l’homme en tant qu’humanité. Ish et Isha se traduise par homme et femme.
Nous pouvons voir que jusqu’au verset 21, seul le mot ADAM apparaît, c’est-à-dire l’Homme avec un grand H, c’est donc le genre humain qui nomme toute la nature et non pas un seul homme. Ici, nous sommes très proche de Genèse 1.
Au verset 22, apparaît le mot îsha, féminin de îsh, l’homme en tant que masculin ou féminin.
Revenons donc au verset 24.

C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère pour vivre avec sa femme. Et ils deviendront comme une seule personne.

Ici nous pouvons nous dire que ce verset est un ordre qui nous est donné à nous parents, futurs parents. L’homme quittera son père et sa mère. Quand cela se fait-il ? Au moment de son mariage ?
Je ne crois pas. Réfléchissons : quand ai-je quitté mes parents ? A vingt ans quand je suis partie pour poursuivre mes études, quand je me suis mariée, quand j’ai eu mes enfants et qu’ainsi j’ai créé une nouvelle famille ?
Posons la question différemment : Quand est-ce que notre enfant nous a quittés ? Lorsqu’il a ouvert les yeux et qu’il a vu autour de lui ? à son premier sourire qui nous disait son affection, mais aussi sa satisfaction, son premier mot, son premier non, ses premiers pas, sa première colère, son entrée en maternelle, ou au CP ou plus tard, en sixième ? Puis nous pourrions rajouter les diplômes, la vie active, la rencontre avec l’autre, celui ou celle qu’il aime. Aujourd’hui, je dirais que cela se fait en plusieurs fois. Pour moi c’était le jour où il a oublié d’appeler pour prévenir qu’il est arrivé à bon port juste après l’obtention de son permis. Ou encore lorsqu’il me dit « Maman tu as voulu qu’on réfléchisse par nous-même, maintenant assume ». La séparation se fait toujours petit à petit. A partir du moment que nous sommes sur terre, nous quittons nos parents, chaque jour un peu plus, un peu plus loin, tout en restant toujours présents les uns pour les autres. Car dans tout cet éloignement reste toujours l’amour.
Mais qu’en est-il d’Adam et de sa compagne.

Notre cher Adam va quitter son Père et sa Mère pour vivre avec sa femme. Quelle contradiction ! Ici nous avons une histoire de création à partir de poussière, de côte, de pâte à modeler, et le résultat de cette création, Adam, va devoir quitter son père et sa mère !
La première question est donc de savoir si Adam qui était le premier avait un père et une mère. Certaines études semblent dire que ce verset est un rajout, un commentaire du rédacteur ou d’un copiste qui nous est parvenu. C’est peut-être vrai, et tout pourrait s’arrêter là, mais aujourd’hui ce verset fait partie intégrale du texte.

Qui est mon Père, qui est ma Mère ? A ces questions, il m’est facile de répondre, ce sont Papa et Maman, ceux qui m’ont donnée la vie, qui m’ont permis de grandir dans l’amour et l’affection, qui se sont occupés de moi et le font encore aujourd’hui. Ils m’ont donnée tout ce qu’ils pouvaient, la tendresse quand j’en avais besoin, la consolation, ils m’ont nourrie, ils m’ont soignée, ils m’ont permis d’apprendre. Ce sont aussi tous ceux qui avant eux (grands-parents, arrière-grands-parents…) m’ont permis d’être là avec vous et d’être ce que je suis, mais aussi ce que j’étais et ce que je serai dans quelques années.

 

La vie a été donné à Adam, l’îsh par Dieu. Dieu, inventeur de l’Humanité est donc le père d’Adam. (On pourrait aussi dire sa mère.)
Dès le début, Dieu nous est présenté comme Père, alors qu’il n’est pas le père biologique d’Adam, il n’en avait pas.

 

Dès le début, Dieu est présenté comme celui qui aime, qui prend soin. Ne met-il pas l’Adam dans le jardin d’Eden, un paradis ? Adam puis Eve sont directement nourris par Dieu. L’homme peut manger de presque tous les fruits du jardin. Dieu est vraiment pour eux un papa. Ils sont totalement dépendants de Lui. Ne leur trouve-t-il pas de la compagnie en créant toute sorte d’être vivant qu’il donne à l’homme (c’est Adam qui les nomme) ?
Dès le début, Dieu ne sait-il pas que l’homme le quittera ?

En lui interdisant le fruit de la connaissance du bien et du mal n’est ce pas une manière de dire ne m’abandonne pas ? En fait, Dieu n’a-t-il pas ici le même souhait que beaucoup de parents, c’est-à-dire de garder leurs enfants près d’eux ? La « connaissance du bien et du mal » est la caractéristique de l’adulte. Et en mangeant le fruit de l’Arbre de la connaissance, Adam et Eve deviendraient adultes c’est-à-dire majeurs, autonomes et indépendants de lui. Pourtant, il plante cet Arbre de la connaissance au beau milieu du jardin, directement sous les yeux d’Adam et Eve, et il le pare de tous les attraits comme s’il voulait encourager ses enfants à transgresser l’interdit.

Alors, peut-être que Dieu n’a proféré l’interdit (« ne mangez pas le fruit de cet arbre ») que pour mieux inciter ses enfants à la désobéissance. Chacun sait qu’il suffit d’interdire quelque chose à des enfants pour qu’ils aient envie de le faire, justement parce que c’est interdit.
Ainsi, contrairement à ce que l’on pourrait penser, Dieu a tout fait pour que Adam et Eve soient incités à manger le fruit de l’Arbre de la connaissance. Dieu est un vrai père qui sait que son premier devoir de père est de préparer ses enfants à leur émancipation.

Lorsque j’ai essayé de me documenter sur ce texte, la plupart des commentaires le présentait comme le texte qui définit l’institution du mariage. Nous pouvons le lire ainsi, mais je crois que cela enlève beaucoup de l’amour que Dieu a pour l’homme.

Dès le départ, Dieu a voulu que l’homme soit libre, responsable de ses choix. Il nous le prouve en ayant une attitude de Père pour la grande famille qu’est l’humanité.
Amen.

Cantique 52-06 : Pour inventer la liberté

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Confession de foi

Je ne crois pas que Dieu me réduise à l’esclavage de la parole et de la loi, mais je crois qu’il me libère : il me fait sortir, moi, comme le peuple des Israélites, du pays de toutes mes détresses.
Je ne crois pas que Dieu ait voulu faire de moi une marionnette, mais je crois qu’il a voulu faire de moi Adam, dès le commencement des commencements, un être libre, responsable de ses actes, un être libre de choisir entre obéissance et désobéissance.
Je ne crois pas que Dieu se tienne loin de moi, quelque part dans le ciel, mais je crois qu’il s’est approché de moi, qu’il s’est abaissé, est devenu homme et a partagé mes joies et mes souffrances.
Je ne crois pas que Dieu me manipule mais je crois qu’il m’aime.
Je crois en un Dieu qui exige de moi que je n’adore pas d’autres dieux et que je manifeste par ma vie tout ce que j’ai reçu de lui.
Je crois que la relation que j’ai avec mon Dieu est unique, indiscutable et impossible à garder pour moi
Amen

 

Cantique 52-09 : Il est une foi ancienne strophes 1, 2, 8

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Offrande

Dieu très bon, tout vient de toi, et nous ne pouvons te donner que ce qui déjà t’appartient ; aujourd’hui encore Seigneur, nous te remercions pour cette grâce de pouvoir t’offrir une partie de nos revenus.
Accepte-nous donc, nous tes serviteurs, et cette offrande que nous te présentons. Bénis-la et multiplie-la pour ton service.
Amen.

 

Intercession

Père, ta Parole nous a redit ton amour pour ce monde.

Seigneur, nous avons besoin que tu nous donnes de la force, la force d’aller vers les autres et de partager la Bonne Nouvelle.
S’il te plaît, donne-nous le courage de nous tenir dans l’humilité, pour ne pas imposer notre volonté au nom de la tienne.
Donne-nous ta puissance, non pour engager un bras de fer, mais pour briser les chaînes de servitude.
Donne-nous ta vigueur,
toi qui donnes et redonnes la vie,
pour que nous assumions notre faiblesse et notre finitude.
Apprends à tous, croyants et non-croyants, qu’être humain,
ce n’est pas être le plus fort,
mais c’est être en relation avec les autres,
c’est se reconnaître toujours imparfait, inabouti.

 

Nourris-nous de ton souffle saint.
Mets en nous un esprit d’amour,
de consolation et de réconciliation,
d’ouverture vers les autres.
Et fais taire en nous les pensées qui raillent,
la vantardise de connaître des choses savantes,
de peur que notre orgueil nous paralyse
dans notre rencontre avec l’autre.

 

Nourris-nous de ta Parole.
Fais de nous des passeurs de mots.
Que, de nos bouches, les paroles que tu nous inspires éclosent comme des fleurs sauvages.
Qu’elles touchent les gens au-delà des mots.
Nous avons appris la valeur de ton silence.
Mais nous savons que c’est en nous disant « je t’aime » que tu nous remets debout.
Rappelle-nous qu’autour de nous,
il y a des gens qui n’entendent jamais dire qu’on les aime,
des gens avec qui partager,
à qui témoigner de ta présence et de ton amour.
M.C.

Amen.

 

Silence

 

Comme Jésus-Christ l’a enseigné à ses disciples, nous te disons :

NOTRE PÈRE

Notre Père qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

 

Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour,
pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du mal,
car c’est à toi qu’appartiennent
le règne, la puissance et la gloire,
aux siècles des siècles.
Amen.

 

Envoie

Que votre joie, vos actes et vos paroles disent votre espérance et soient promesses du monde qui vient.

 

Bénédiction

Dieu vous bénit et vous garde dans sa paix.
Amen.

Cantique 51-05 : Tout dit qu’il est merveilleux

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