PROCLAMATION DE LA GRACE DE DIEU

La grâce et la paix nous sont données de la part de Dieu notre père et de Jésus-Christ, notre Seigneur.

Nos pieds ont foulé les chemins tout au long de la semaine.
Notre dos a porté le poids de nos soucis.
Voici le temps de l’étape et de la pause.

Un temps de chaleur, de lumière et de repos, un temps où notre Seigneur nous précède, où il nous accueille, nous nourrit et nous restaure.
Un temps où il nous offre une fraternité humaine et nous rend disponibles.

Vous êtes tous invités à rentrer dans ce temps.

Prions

Père, tu nous donnes ton Saint-Esprit
“car c’est à nous qu’est destinée la promesse,
à nos enfants ainsi qu’à tous ceux qui sont au loin,
aussi nombreux que tu les appelleras.”

Amen.

Nous voici rassemblés en ton nom Seigneur

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LOUANGE

Dieu d’amour, pour toi, j’aimerais que ma vie soit chant, j’aimerais que ma vie soit danse, j’aimerais que ma vie soit un élan de reconnaissance.
Qui est l’humain pour que tu t’occupes de lui ?
Qui est l’humain pour que tu veuilles le faire advenir à sa véritable humanité ?
Qui est l’humain pour que tu lui confies ton Fils, génération après génération ?
Béni sois-tu pour le pont d’amour que tu as jeté entre l’être humain et toi.
Béni sois-tu pour la relation unique que tu désires tisser avec chacun, chacune d’entre nous.
Béni sois-tu pour Jésus-Christ, ton Fils.
Béni sois-tu pour Jésus-Christ, notre frère.

Venez le célébrer

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Nous prions Dieu avant de lire les Ecritures, afin qu’elles deviennent pour nous Parole de vie.

Comme une lampe éclaire ma maison, ta Parole éclaire ma vie
Comme le phare guide le marin, ta lumière guide mes pas.
Comme le soleil réveille le jour, tes mots réveillent le bonheur.
Comme le feu fait danser la nuit, ton amour fait danser mon cœur.
Comme pierre, Jacques et Jean, nous accueillons ta lumière, Seigneur,
et nous voulons te suivre.

Amen.

LECTURES BIBLIQUES

Ecclésiaste 1, 1-2 ;2, 21-26

¹Voici les paroles du Sage, fils de David et roi à Jérusalem. ²Le Sage dit : Tout part en fumée, rien ne sert à rien, rien ne mène à rien. Quelqu’un travaille avec sagesse. Il a de l’expérience et il réussit bien. Or, il doit donner ce qu’il a réalisé à un autre qui n’a rien fait ! Cela non plus n’a pas de sens et c’est très injuste. ²²Oui, qu’est-ce qu’il reste aux humains de toutes leurs activités et de tous leurs efforts sous le soleil ? ²³Tout le jour, ils se donnent du mal et ils souffrent pour réaliser ce qu’ils veulent faire. Même la nuit, ils ne peuvent pas se reposer. Cela non plus n’a pas de sens. ²⁴Le seul bonheur pour les êtres humains, c’est de manger, de boire et de profiter des résultats de leur travail. J’ai constaté que c’est Dieu qui donne ce bonheur. ²⁵En effet, qui peut manger et profiter de la vie si Dieu ne le permet pas ? ²⁶Oui, à l’homme qui est bon à ses yeux, Dieu donne la sagesse, la connaissance et la joie. Mais à l’homme qui agit mal, il donne la charge de rassembler des biens et de les garder pour celui qui est bon à ses yeux. Cela non plus n’a pas de sens, autant courir après le vent !

Colossiens 3

C’est avec le Christ que vous avez été réveillés de la mort. Cherchez donc les choses d’en haut, là où le Christ se trouve, assis à la droite de Dieu. ²Le but de votre vie est en haut et non sur la terre. ³Oui, vous êtes passés par la mort, et votre vie est cachée avec le Christ en Dieu. ⁴Le Christ est votre vie. Quand il paraîtra, vous aussi, vous paraîtrez avec lui et vous participerez à sa gloire. ⁵C’est pourquoi, faites mourir ce qui en vous appartient à la terre : par exemple, mener une vie immorale ou impure, désirer des choses honteuses et mauvaises, chercher à avoir tout pour soi, ce qui est une façon d’adorer les faux dieux. ⁶Voilà ce qui attire la colère de Dieu sur ceux qui refusent de lui obéir. ⁷Autrefois, vous aussi, vous agissiez ainsi quand vous viviez de cette manière. ⁸Mais maintenant, rejetez tout cela : colère, violence, méchanceté. Ne lancez plus d’insultes ni de paroles grossières ! ⁹Ne vous mentez plus les uns aux autres. En effet, ce que vous étiez avant avec vos façons de vivre, vous vous en êtes débarrassés comme d’un vieux vêtement. ¹⁰Et, comme si vous aviez mis un vêtement neuf, vous êtes devenus une personne nouvelle. Cette personne se renouvelle sans cesse et elle ressemble de plus en plus à son Créateur. C’est ainsi que vous pourrez connaître Dieu pleinement. ¹¹Maintenant, il n’y a plus des non-Juifs et des Juifs, des circoncis et des non-circoncis. Il n’y a plus des étrangers, des non-civilisés. Il n’y a plus des esclaves et des personnes libres. Mais il y a le Christ : il est tout et il est en tous.

Luc 12 v 13 à 21

Quelqu’un dans la foule dit à Jésus : « Maître, commande à mon frère de partager notre héritage avec moi ! » Jésus lui répond : « Je ne suis pas là pour juger vos affaires ni pour partager vos richesses ! » Ensuite Jésus dit à tout le monde : « Attention ! Ne cherchez pas à avoir toujours plus de choses ! En effet, la vie de quelqu’un ne dépend pas de ce qu’il possède, même s’il est très riche. » Alors Jésus leur raconte une histoire : « Un homme riche a des terres qui produisent une bonne récolte. Il se demande : “Qu’est-ce que je vais faire ? Je n’ai pas assez de place pour mettre ma récolte.” Alors il se dit : “Voilà ce que je vais faire : je vais démolir mes greniers et en construire de plus grands. J’y mettrai toute ma récolte et mes richesses. Ensuite je me dirai à moi-même : Mon ami, tu as là beaucoup de richesses, pour de nombreuses années. Repose-toi, mange, bois, amuse-toi ! ” Mais Dieu lui dit : “Tu es fou ! Cette nuit, je vais te reprendre ta vie. Et tout ce que tu as mis dans tes greniers, qui va l’avoir ? ” » Jésus ajoute : « Voilà ce qui arrive à celui qui cherche des richesses pour lui-même, mais qui n’est pas riche pour Dieu ! »

Voix des prophètes

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PREDICATION

Lorsque nous ouvrons le journal, allumons la radio pour les infos du matin au moment du petit déjeuner, la télé pour le journal du soir, ce que nous lisons, entendons et voyons n’est pas pour nous remonter le moral. La guerre en Ukraine, à Gaza, les décisions des dirigeants des grandes puissances, mais aussi des plus petites, qui vont jusqu’à promulguer des lois injustes, de dire des paroles de haine ou encore lâchent des bombes et des drones sur les populations sans défense. Nos pays ne sont pas tous égaux à travers le monde et chacun a ses imperfections, suscite des jalousies.

Regardons également dans nos villes, dans nos familles : Nous ne sommes pas tous égaux devant les biens, et les besoins des uns ne sont pas forcément ceux des autres. Nous pouvons avoir des priorités différentes.

En fait, nous pouvons-nous demander si ce que nous avons est suffisant pour nous rendre heureux, ou bien sommes-nous heureux, et dans ce cas de quoi avons-nous besoin de plus ? Mais les choses ne sont pas aussi simples que cela.

Nous pouvons avoir assez pour vivre, se faire plaisir et mal supporter d’en avoir moins que notre voisin, notre frère ou notre sœur…

Ce matin, nous sont proposé deux textes sur les besoins de chacun. Il sont très proches.

Le premier est dans l’Ecclésiaste.
C’est un livre que nous n’avons pas souvent l’occasion du lire lors du culte du dimanche matin.
Que savons-nous sur son auteur ? C’est un fils de David, je dirai plutôt un descendant de David, un roi d’Israël.
Ecclésiaste signifie également celui qui s’adresse à la foule. Cela est compatible avec quelqu’un de haut placé. Ce livre semble avoir été écrit au milieu du troisième siècle avant Jésus Christ.
C’est aussi un livre dont nous retenons beaucoup d’expressions qui se retrouve dans notre vie de tous les jours. Par exemple ici : faire quelque chose qui n’a pas de sens revient à « courir après le vent ».

L’auteur de l’Evangile de ce matin, nous le connaissons, c’est Luc, il serait syrien, médecin et un disciple de Paul. Il a vécu au 1er siècle

Que ce soit l’Ecclésiate ou Luc, chacun nous parle des besoins des hommes. L’un nous donne ses réflexions, l’autre nous rapporte une situation où Jésus est interpellé et où il nous raconte une parabole.

Dans la traduction de Parole de vie, la réflexion de l’Ecclésiaste me va bien, elle est générale, sur notre travail, pour qui nous travaillons, mais surtout sur ce qui rend l’homme heureux et qui nous permet d’être heureux. Il finit par celui qui est ou qui n’est pas bon aux yeux de Dieu : « à l’homme qui est bon à ses yeux, Dieu donne la sagesse, la connaissance et la joie. Mais à l’homme qui agit mal, il donne la charge de rassembler des biens et de les garder pour celui qui est bon à ses yeux ». Mais d’après l’auteur, cela n’a pas de sens.

Dans le texte de l’évangile, c’est l’impression d’en avoir pas assez, moins que l’autre, qui conduit un homme de la foule à aller au-devant de Jésus pour lui demander d’arbitrer un héritage dont le partage semble avoir été injuste. Cela était fréquemment demandé à des rabbins. L’homme se fait sèchement renvoyer. « La vie de quelqu’un ne dépend pas de ce qu’il possède, même s’il est très riche », leur dit Jésus. Les biens, abondants ou pas, ne garantissent pas la vie. C’est ce qu’illustre la parabole qui suit sa réponse.

Ici, le riche insensé ne me semble pas si insensé que cela. Du moins, dans un contexte purement économique. Au contraire : il est travailleur, et même prudent, avisé, il ne dilapide pas la richesse providentiellement gagnée. Et de plus prévoyant et sage : prévoyant car il compte bien utiliser les biens dont il dispose maintenant en anticipant les problèmes du futur.

Cet homme me fait un peu penser à Joseph en Egypte lorsqu’il a construit des greniers afin de stocker les surplus des 7 années où la production de blé, donc de pain était abondante pour pouvoir subvenir au peuple égyptien lors de 7 années de famine qui ont suivies. Mais le but n’est pas le même que pour l’homme insensé. Ici, les réservent serve à nourrir le peuple d’Egypte ? ce n’est pas pour Joseph ou pharaon.

Cependant, l’homme insensé me semble sage, raisonnable car il ne se laisse pas happer par la spirale infernale de l’avidité, qui veut toujours plus et ne sait jamais se satisfaire de ce qu’il a. En effet, il prévoit de construire des greniers assez grands pour stocker tout son blé.
Il se dit à lui-même : « Mon ami, tu as là beaucoup de richesses, pour de nombreuses années. Repose-toi, mange, bois, amuse-toi ! » Non, cet homme n’est pas spécialement avide, il a travaillé une bonne partie de sa vie et se prépare à une retraite bien méritée, il décide de vivre de ces rentes, se contentant de ce qu’il a pour être heureux. Voilà quelqu’un qui n’a plus de soucis à se faire, il est béni, il est tranquille, il a compris que la vie ne doit pas consister en une course sans fin vers toujours plus de richesses. Il veut maintenant enfin en profiter !
Alors pourquoi Jésus le qualifie-t-il d’ » insensé  » ? Tout simplement parce qu’il n’a pas prévu qu’il allait mourir dès la nuit qui suit, et que ses biens ne lui serviront alors plus à rien.
Cet homme raisonnable, pense trouver la paix intérieure, le plaisir et le repos grâce à ces richesses, à condition de bien les entreposer. Et c’est là que le calcul s’avère faux. Bien-être et aisance matérielle ne sont pas de buts en soi, mais des moyens. L’histoire se termine par ce conseil de Jésus de devenir  » riche aux yeux de Dieu « .

Nous avons donc deux textes à 300 ans d’intervalle qui nous disent que ce qui est important c’est d’être « riches aux yeux de Dieu ». C’est la même expression qui est utilisée dans notre traduction biblique..

Que peut-il bien vouloir dire par là ? Est-ce un appel à continuer à travailler ? A la solidarité ? Est-ce un appel à sortir du face à face stérile entre l’homme et ses biens ? Cette dernière solution me paraît la plus juste : la richesse peut être bénédiction, lorsqu’elle est au service de la vie, du partage, lorsqu’elle est reçue et donnée, lorsqu’elle circule. Elle est dénaturée quand elle prend une place qui ne lui revient pas, celle de garantir à un individu son bien-être personnel…

L’Ecclésiaste ne nous dit-il pas que le bonheur est donné par Dieu ?
L’homme de la parabole est insensé, car il n’a pas trouvé le sens de la richesse, qui tourne en rond sur elle-même.

Enfant, j’aimais particulièrement le culte de l’automne où nous remercions Dieu pour les récoltes de l’année. C’était fête de remerciement, de reconnaissance pour toutes les récoltes L’église était décorée par des fruits, du blé, des légumes, du pain… tout ce que la terre pouvait nous donner. Symboliquement cela représentait toutes les richesses que nous possédions, et qui nous venaient de Dieu. Nous retrouvons ici ce que l’Ecclésiaste nous avait dit.

Quant à l’homme de la parabole, il aurait peut-être pris un chemin tout différent s’il avait commencé par rendre grâce à celui qui lui avait offert sa belle récolte !
Rendre grâce pour nos biens matériels, c’est le début de la sagesse. Cela donne sens, nous reconnaissons alors que tous nos bienfaits nous viennent de Dieu.

Alors,
– Être riche selon la volonté de Dieu, n’est-ce pas faire du centre de sa vie le commandement d’amour qui arrache l’autre à la solitude, et qui permet de vivre une vie relationnelle riche ?
– Être riche pour Dieu, n’est-ce pas déjà recevoir de la main de Dieu en toute confiance, et à utiliser les dons reçus en fonction de ses commandements ?

Alors je dirais il appartient à chacun de nous de gérer sa vie et ses biens en toute liberté et faire en sorte qu’il soit riche aux yeux de Dieu.

Amen

Pour que le jour qui se lève soit le plus beau

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CONFESSION DE FOI

Eclairés et rassemblés par la Parole de Dieu,
nous affirmons notre foi :

Pour le monde et pour moi,
j’ai confiance en Jésus de Nazareth.
Il est le seul sauveur et maître.

Il a été l’homme véritable
comme nul homme ne peut l’être par lui même.
Il est mort sur une croix
pour les autres et pour le monde,
comme pour moi.

Il est ressuscité,
il est présent parmi les hommes
et, pour les servir, il recrute son église
sans tenir compte de nos distinctions.

Il agit par les hommes et les femmes dans l’histoire
pour l’amener à son but: un univers réconcilié dans l’amour.

Aussi, je ne crois à la fatalité,ni de la guerre, ni de la haine, ni de la catastrophe, ni de la mort,
parce que je crois que Jésus nous libère
pour des décisions libres.

Grâce à lui, Dieu a un visage,
Il a un nom, celui de Père.
Grâce à lui, ma vie a un sens,
l’univers aussi.

Pour le monde et pour moi,
j’espère en Jésus de Nazareth.
Il vient.

Amen

Chante Alléluia au Seigneur

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OFFRANDE

Voici le moment de l’offrande.
Rappelons-nous la parole de Paul :
“ Que celui qui donne le fasse avec générosité.”

Dieu tout puissant,
Tu bénis l’œuvre de nos mains
Et tu invites les êtres humains
A récolter et à vivre des fruits de leurs travaux.
Donne-nous d’en user avec générosité et de savoir les partager.
Grâce te soit rendue pour les dons de ton amour, par Jésus-Christ ton fils, notre Seigneur.

Amen.

INTERCESSION

Nous nous unissons dans la prière:

Père
Rassemblés devant toi, nous te présentons notre monde.
Nous te prions pour tous ceux que tu nous mets en mémoire.
Que ta volonté soit faite.

Nous te remettons tous les peuples de la terre,
tous ces êtres humains que tu considères comme tes enfants.
Que la lumière illumine les temps à venir!
Que ta Parole retentisse pour annoncer ta Paix!

Nous te remettons celles et ceux qui ont dit oui à ton appel,
et qui témoignent de ton amour là où ils se trouvent
Que chacun reçoive de toi force et joie pour accomplir sa mission, particulièrement dans les lieux où règnent la guerre et la violence.

Nous te remettons chaque personne en souffrance,
chaque être humain habité par le désespoir et le chagrin,
car tu ne prends pas seulement soin de ton peuple, mais de toute créature.
Soutiens le malade et le mourant, et donne-nous la parole qui exprime ce soutien!
Accompagne l’endeuillé et rends-nous présent à sa peine!
Encourage le chômeur, celui qui se sent inutile, oublié,
et apprends-nous à partager son souci!

Conduis tous les enfants dans l’Espérance, par ton Esprit,
et aide-nous à transmettre ta promesse avec fidélité!

Dispense ta sagesse à tous les responsables politiques, économiques et sociaux
et fais de nous des citoyens attentifs, constructifs,
qui mettent l’Evangile au cœur de leur vie et du monde.

Nous te remettons celles et ceux qui nous sont chers, qui nous sont proches:
que nous vivions avec eux dans la compréhension et l’amour.

Et avec les disciples, nous te disons

NOTRE PERE
Notre Père qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour ;
pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Ne nous soumets pas à la tentation
mais délivre-nous du mal,
car c’est à toi qu’appartiennent
le règne, la puissance et la gloire,
aux siècles des siècles.
Amen.

ENVOI ET BENEDICTION

Prends la route.
Ne te lasse pas, cherche et médite, lis et prie,
Dieu place en toi et dans le creux de tes mains,
la force, la vie, la puissance de son Esprit
et la joie de sa promesse.

Dieu vous bénit.
La lumière du Père éclaire votre chemin.
La parole du Christ sanctifie votre vie.
La communion de l’Esprit-Saint fortifie votre coeur.

Amen.

Toi lève-toi strophes 1 et 4

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